Avec les commentaires, les traces, les vidéos et parfois quelques photos.
Reprise
C'était le mot d'ordre hier.
Une grosse dizaine de personnes au départ avec un perte rapidement d'un membre, Marco, qui semblait avoir quelques problèmes de frottement avec sa roue arrière !
Bref nous sommes partis direction Chevreuse, mené tambour battant par Florent très en forme car lui il a roulé tout le mois d'oût LUI !!!
Petit single sympa pour se remettre en jambe et pour se rappeler qu'il ne faut pas freiner dans le bas d'un fossé au risque de se mettre le nez dans le cintre et le coude de travers, rythme peu soutenu mais suffisant pour voir le peletont se déliter au fil des hectomètres.
Nous avons donc décidé de calmer le jeu.
Patrick G rencontrant un problème de galets, usiné, se vu dépanné par Nico disposant d'un galet de rabe dans le sac ! Ouf ous voila reparti, à jouer entre Singles et quelques mais peu nombresuses grandes allées verdoyantes. Plus de bobo ou presque après une crevaison de Thierry qui n'a pas assez levé le vélo sur une caillasse, puis Franck qui se gamelle téléphone à la main...
Retour un peu désordonné mais tout le monde est revenu pour 12h, heure de l'apéro, au COBAR ou nous avons retrouvé Peguy et Francky qui avaient décidé de reprendre doucement mais surement le rythme.
Au final donc 36km pour 850m de D+. Pour une reprise, c'était cool, avant d'accueillir les nouvelles têtes.
Pour un rertour ce fut un retour !
Sans avoir compté, je pense que nous étions au bas mot 30. Entre la reprise pour certains, la continuité de l'été pour d'autres, et les premiers tours de roues pour nos deux nouvelles recrues de Fontenay.
Au programme, 4 parcours possibles du 24 au 47 km avec une variante à 34 et une autre à 40.
Nous partons tous ensemble, puis 3 groupes se dessinent.
Un groupe 34-40 puis un gourpe 47 un peu plus dynamique qui arrivera sur le COBA vers 11h30 !
SIngles, montées, descentes, quelques champs à traverser, terrain idéal, temps idéal, superbe sortie, sans bobo ni casse... Juste Louis qui a fumé vers le 35ème km et qui a terminé comme il a pu, au forceps.
Heureux de tous nous retrouver au COBAR, les nouveaux intégrés, motivés pour nous rejoindre.
@ dimanche prochain
Nous étions encore bien nombreux ce dimanche matin pour ce rendez-vous !
Une vingtaine dont six nouveaux !
Au programme les singles, en deux, trois groupes ! Au final un programme à la carte où chacun à pris du plaisir, même les nouveaux, même s'ils ont eu des difficultés à terminer, mais c'est normal c'est le début !
Pas de grande péripétie, peu d'avarie, juste un grand plaisir de rouler des singles secs avec un poil de grip pour taper les freinages à la limite, et les racines bien sèches pour ne pas partir en travers ! Ce ne sera pas la même quand on repassera par là cet hiver.
Espérons que tous les nouveaux soient motivés pour venir rouler avec nous durant cette nouvelle saison.
@ dimanche pour de nouvelles aventures !
La pluie était au rendez-vous ce jour !
Une douzaine au départ tout de même, mais les conditions ne furent pas très bonnes.
Au menu du jour : Tour de Versailles Via Bailly, Viroflay, Epi d'Or
Après quelques hectomètres en commun, les 3 groupes se séparent à la sortie de Fontenay.
Peu d'amateurs déclarés spontanément pour le 45. Mais finalement 5 vont le tenter après d'âpres négociations, les 18 autres restant à de plus modestes ambitions.
Rennemoulin, forêt de Marly, Louveciennes, la Celle St Cloud, Viroflay et retour par la Minière.
Là, alors que le groupe du 38km emprunte les singles au-dessus de l'étang, l'équipe du 45km qui le suit se rend compte un peu tard qu'elle en est privée et qu'elle a l'autre côté de l'étang au programme ; côté qui pourrait s'avérer presque aussi ludique avec un peu plus de connaissance des traces étroites qui se sont formée au milieu des chemins de boue séchée et qui nécessitent adresse et relance (d'autant plus de relance qu'il y a moins d'adresse d'ailleurs !).
PLM, refroidi par un 360° effectué selon un axe de rotation horizontal survenu en milieu de parcours (et sans dégâts), et qui se demandait depuis un certain temps déjà pourquoi il avait accepté de venir, profite de l'occasion pour bifurquer sur le 38.
A part cela, pas grand chose à noter, si ce n'est la tentative (réussie) d'Olivier pour imiter Francky en dérapage de roue arrière dans une descente vers Vélizy. Maîtrisé de main (ou plutôt de pied) de maître, tranquille...
Malgré le terrain sec, il semble que tout le monde avait sa dose.
Quelle bizarre habitude depuis la rentrée : l'apéro est quasiment terminé à midi. On file un mauvais coton, je vous le dis !
Puisque Nico, le copain de tous le monde s'est échappé dans les Alpes Mancelles, le Coba a fait " le Tour de Versailles".
Un gros groupe ce dimanche une bonne vingtaine, départ groupé jusque dans la plaine de Fontenay puis séparation, "les Dynamiques" guidés par Eric tambour battant !!!!!( juste revu à l'arrivée), "les Rouleurs" avec Franck et "le Groupe des Nouveaux" avec Philippe.
Tout ce petit monde a bien apprécié les parcours parfois technique, belle descente..... mais ne pas oublier de tourner à mi-pente sinon il faut remonter.......
Belles grimpettes (merci Philippe) , on a pas fait la Michel!!!!!!.
Retour par la Miniére ou Patrick Lemaitre avait perdu son groupe mais qui nous a gratifié d'une belle glissade .
A l'arrivée le Groupe de Philippe nous attendait et les Dynamiques sont arrivés (presque pas ...fatigués).
Tout cela dans la bonne humeur et sous le soleil.
Au menu du jour, 3 parcours
Vert : 34km +350m
Bleu : 39km +500m
Rose : 46km +700m
Nous étions pratiquement une trentaine ce matin, entre anciens et nouveaux, même si ces derniers n'étaient pas tous au complet !
Au programme donc trois parcours, mais nous avons décidé de faire deux parcours, le 34 et et le 39 qui s'est transformé en 41km !
Deux groupes assez denses donc qui se sont retrouvé dans les beaux mais délicats singles... Si lorsque c'est sec ces singles sont parfois techniques, quand cela se présente comme hier, avec un grip mais aussi des racines humides, ils deviennent encore plus délicats et parfois c'est la chute...
Après quelques descentes et côtes fort agréables, malgré une température fraîche, voila que Luc décide d'accrocher sa pédale dans une grosse racine qui sortait du sol... Vol plané, vélo en vrac, bonhomme assis à moitié sonné...
Nico s'arrête et les premiers constats montrent que Luc s'est blessé au doigt. L'ongle est levé, Luc préfère ne pas regarder, ni même savoir... Nous sortons la trousse de secours, point de compression sur le doigt pour arrêter le saignement, une petit sparadra, un gant caoutchouc et go on repart...
Petit conseils : en toute circonstance en VTT les mitaines sont à proscrire, les gants long protègent les doigts de toutes les attaques...
La suite se passe sans heurt, Mathieu le descendeur montre des signes de fatigue, alors avec Philippe nous l'attendons pour terminer en douceur.
News du 34 km sur lequel nous étions 8, dont nos 3 féminines ... au grand complet !
... 34 qui se sont transformés en 36 km avec un D+ revu à la hausse car nos nouveaux commencent à bien rouler ...
à bien monter et à (mal) tomber, principalement à cause des pédales auto !
Ramzi, le grand spécialiste de la chute à l'arrêt, s'est pris le guidon dans le sternum alors que nous abordions une dernière petite extension pentue à la Minière ...
Il est rentré, doucement et douloureusement, en restant sur le plat.
Ca tombe bien (si on peut dire !), il devait partir 15 jours en vacances ... et bien il aura 15 jours de plus au repos !
En arrivant à Magny, notre Peggy, pourtant soulagée (on se comprend) ... a aperçu un sanglier !
Jugez de son émoi et de notre surprise ! Surtout que la Belle affirmait avoir vu "la queue de la Bête bouger".
Demi tour ... Effectivement, près des cibles du tir à l'arc, il y avait bien un sanglier ... en contreplaqué !!!
De la à en voir la queue bouger ... je dis moi, que ça relève du fantasme !!!!
Comme dirait Loïc, il y a de la m.... s....... dans ce pays !
jaune : 43 km mais seulement 470m de D+
rouge : 50 km +700m
possibilité de passer de l'un à l'autre ... suivant l'humeur des "chefs" de groupe
2 parcours étaient au programme, mais trop peu d'amateurs pour faire un groupe sur le 51km.
On part donc tous (combien ? 18 ? 20 ?) sur cette "proposition" de 43km, "long mais roulant", en se disant que ceux qui veulent pourraient s'écarter de temps à autre pour emprunter quelques morceaux du 51km.
Comme promis, dès les premiers km, baptême de la butte de Trappes pour un certain nombre de nos nouveaux amis, dont un assisté d'un moteur électrique (du moins c'est ce qu'il prétend :-) ) bien que les véhicules à moteur soient interdits dans le secteur.
Auparavant, FKL nous avaient déjà gratifiés d'une erreur de guidage en prenant le mauvais côté de l'étang de St Quentin. Mais, fort heureusement, le parcours du GPS n'étant qu'une proposition, l'infraction n'est pas juridiquement répréhensible. Ouf !
Tout le monde ayant parfaitement assuré la descente de la butte, non sans quelques odeurs de plaquettes brûlantes, nous nous trouvons face à une première décision : qui veut faire les singles ? Qui s'en va directement vers Elancourt ?
Un groupe de "9" part sur les singles ; guidé par Stéphane, le groupe effectue même une portion non initialement prévue sur la trace.
La suite n'est pas totalement fluide au niveau de la cohésion, mais nous finissons par tous sortir de ce secteur très agréable mais technique.
Là, quelle surprise de constater la présence au sein (enfin, plutôt en queue) du groupe d'un duo, dit "Bernard et Bianca". Erreur d'orientation ou volonté ? Nous ne le saurons jamais. Mais nous voilà donc à 11 !
Moment choisi par Thierry pour tenter un regonflage de son amortisseur défaillant.
Quelques km plus loin, près de la station d'épuration, l'état de santé de l'amortisseur convalescent se dégrade, au point que Thierry décide de rentrer (bien rentré, au fait ?) accompagné par Florent, pas fâché de de ne pas poursuivre sous les 3 gouttes de pluie qui tombent de temps en temps.
Ces différents incidents font que nous ne revoyons toujours pas l'autre moitié du groupe lancé sur les mêmes pistes (a priori...).
Le Tremblay, Mareil-Le Guyon (Bernard ou Bianca, je ne sais plus : "Eh, mais c'est Méré qu'on voit là-bas ! On va rentrer à quelle heure ?"), Le Pontel, Villiers, Neauphle puis la forêt de St Appoline.
C'est là, alors qu'on n'y croyait plus, que se produit la réunification avec le groupe de devant qui arrive par l'arrière (???).
Dans la traversée de Plaisir, certains insistent pour prendre un sens interdit sous le nez de 2 motards de la Police Nationale alors qu'il y avait eu instruction préalable (càd avant que les motard n'arrivent) pour respecter les règles de circulation. Ben voyons, faite comme vous voulez...
Un nouvel emprunt d'une portion du circuit de 51km sépare de nouveau le groupe. Une nouvelle fois guidé par les improvisations de Stéphane intenable dès que des singles de présentent devant sa roue (et que les jambes sont de nouveau bien là), le groupe quadrille la forêt de Bois d'Arcy, jusqu'à l'épuisement de certains qui finissent par prendre les grandes avenues.
Le 43km s'est finalement transformé en quelque chose variant de 44 à 49km selon les (sous-)groupes.
Tout cela pour un retour au COBAr après 12h : une première cette saison !
Dimanche prochain, 3 parcours pour aller faire le tour du golf de Chambourcy :
- jaune 36 km +500m
- rouge 42 km +650m
- bleu 49 km +750m
Version d'un touriste, parait-il
Ce matin, grand soleil et 17° (génial) ... 17 (vtt) au départ : pas mal pour un WE de vacances !!!
En théorie 3 parcours au menu, mais les dynamiques sont frileux (privés de Nico, ils sont tout mous !) ... alors on part groupés jusqu'à Chavenay et on se dit qu'on verra alors si on fait 3 groupes.
Arrivés (vite) en haut de la côte aux boeufs, on n'a plus envie de se séparer ! Alors on convient de faire le 43 en l'aménageant au fur et à mesure, au gré des envies et des possibilités de chacun.
Malgré les problèmes de transmission de Jacky et de Michel J, un groupe homogène s'est donc constitué jusqu'à la crevaison de Yann à l'ouest de Feucherolles ... Finalement, en arrivant en forêt, 3 groupes de niveaux se sont formés pour rallier Chambourcy par des chemins plus ou moins gras.
Le regroupement s'est opéré en haut de la route des princesses ... PhM et Florent, pris par le temps, sont rentrés directement à BA.
Ca papotait gentiment sur les avantages du 27.5 sur le 29 ... mais notre Eric L, toujours au taquet, était venu pour faire du vélo et a voulu mettre fin à nos "papiatages" ... même si la roue avant de Saad (Pschitttttttttttttttttttttttttttttttttttttttt ... crevée !!!) en a décidé autrement !!!
C'est à Noisy, sur un beau chemin roulant, que Matthieu a fait le soleil du jour (problème de chaine qui a déraillé ...). résultat une belle entaille au bras, vite désinfectée et emballée de façon "artistique" par PhB !
Un petit groupe est rentré directement par la plaine de Fontenay tandis que la majorité suivait la trace initialement prévue par Bailly ... Au moment ou la énième jonction s'effectuait dans le Parc des missionnaires, le pauvre Yann a achevé son dérailleur déjà bien malade ... malheureusement, je crois que le cadre aussi a souffert !!! notre petite discussion sur les mérites du 27.5 risquent de lui être utiles pour le changement de vélo dont il commençait à parler ... vous avez dit prémonitoire ? Dans son malheur (pas d'apéro au COBAR ...) il était à 2 pas de chez lui .... ouf !
Arrivée assez groupée vers 12h15 au COBAR, c'est la 1ère fois depuis la reprise qu'il y a la queue à la station de lavage ! mais c'est surement pas la dernière !!!
A dimanche, pour d'autres boueuses aventures ...
Version d'un vttiste, dit-il
Aujourd'hui c'était le début des vacances scolaires et il ne devait y avoir presque personne au rendez-vous du COBA... Nous n'étions donc "que" 17 à partir.
Au programme, 3 traces possibles (36, 43 ou 49km), voire 6 sachant que les 2 variantes de sens de rotation ont été prévues. Ouh, ça commence à devenir sérieux le COBA au niveau planification !
Et finalement, tout le monde part sur le circuit moyen... Mais à quoi ça sert que PhR il se décarcasse ???
Sens de rotation opposé à l'habitude, donc : départ direction Villepreux par la forêt de Bois d'Arcy où, apparemment une course pédestre, nous impose un léger détour, puis Chavenay et Davron où une courte séparation s'opère entre les VTTistes, peu nombreux (pas plus de 6), et les touristes.
Après Feucherolles, entrée dans la forêt de Marly.
Entretemps, nous avions perdu Michel, trahi par une dent de son petit plateau et rentré par la route. Loïc aurait pu lui expliquer qu'un petit plateau, ça ne sert à rien, mais il n'était pas là.
C'est aussi par là que Yann nous fait la première crevaison du jour.
Une vraie séparation entre un groupe "43km light", un groupe "43km normal" et un groupe de 3 sur une portion du 49km autour du golf de Chambourcy ("golf de Joyenval" en fait).
Là, on est presque au ralenti, à se retourner sans cesse pour attendre Jacky ("J'ai mal partout"). Un mauvais jour peut-être ? Mouais, on en reparlera plus tard...
Puis tous les groupes finissent par se rejoindre, après un secteur bien boueux que le guide principal avait bien pris soin de faire éviter à son groupe mais sans épargner les autres. De toutes façons, on s'en fout, on est là pour faire du VTT, nous !
Puis la "côte de Marco" que seul notre grimpe-tout PhB réussit à gravir entièrement. Des mauvaises langues prétendent que PhM aurait pu aussi, mais aurait vu sa montée sabotée par quelque maladroit.
Pas rancunier mais pressé de rentrer, il nous quitte quelques minutes plus tard pour un retour express en compagnie de Florent (qui pourrait bien être le sus-dit saboteur, mais ça, ils ont dû le régler entre eux sur le retour ; l'histoire ne le dit pas...).
Saad, ne voulant pas interrompre une pause par discrétion, préfère attendre qu'on soit reparti pour détecter une crevaison. Par contre, en organisateur de la réparation, il fut parfait ; chacun à sa place, on se serait cru dans un stand de Formule 1.
Après un peu de boue et de montées encore soigneusement évitées par le "43km light", nous voilà arrivés sur un morceau plat, sec et roulant.
C'est le moment que choisit Matthieu (du fameux duo B&B) pour tenter un salto avant devant son public.
Malheureusement, sa technique n'étant pas encore assez au point (il faut d'abord s'élever beaucoup plus haut si tu ne veux pas toucher le sol quand les roues sont en l'air !!!), il doit se contenter d'un 180° au lieu du 360° espéré.
Un entaille assez profonde sur le coude oblige l'ambulancier PhB à sortir son attirail et ses talents de secouriste, tout en bloquant fermement le blessé au sol, celui-ci refusant les soins pour repartir au combat. Merci à lui.
Nous voici bientôt à Bailly où nous prenons, comme c'est l'habitude (et la trace), la route pour remonter vers Fontenay, frustrant Florian qui, les jambes de feu ces temps-ci, aurait bien voulu passer par Rennemoulin, histoire de faire encore un peu de boue et de vent de face dans la plaine.
Jacky, bizarrement retrouvé (ou économisé ?), attaque dès le pied de la montée, suivi comme son ombre par Patrick A et PhB.
Eric, perdant toute lucidité, décide de prendre la roue de PhB pour coller au duo de tête. Erreur fatale, mauvais cheval. Est-ce son exploit dans la côte de Marco, est-ce le poids de la pharmacie ou son effort pour lutter au sol contre Matthieu ? Nul ne le sait. Mais le fait est, qu'après une résistance héroïque d'au moins 2 ou 3 secondes, c'est la panne sèche. Et un trou maintenant impossible à combler sur Jacky bien soutenu moralement (et c'est important) par Patrick qui ne se hasarde pas à avoir le soupçon de l'idée de prendre un relais.
Dans le parc des Missionnaires nous retrouvons un groupe "43 ultra light", parmi lequel Yann voit son vélo se faire Hara-kiri dans la montée, lassé de tant de torture : chaîne, dérailleur, cadre ; un massacre !!!
Malgré tout ces départs et ces incidents, il en restait quand même quelques uns au moment s'abreuver à l'apéro du COBAR.
Bonne semaine
Hello,
Je ne serai pas là dimanche mais je vous ai préparé un (ou 3) parcours de ROI ... 3 chateaux au menu (Versailles, Marly et Villepreux ).
Parcours à "tiroirs" de 35 à 43 km (500/600/700m de D+)
En fait, suivant le nombre de participants (et de GPS) et suivant l'expérience de dimanche dernier, je vous conseille de tous partir sur le parcours de base de 39 km (+600m de D+) et de rallonger/raccourcir au gré des besoins, des envies ....
En regardant la carte :
rouge : 35km avec 2 raccourcis par rapport au 39.
- 1er en haut du Chesnay, passage direct sous l'A13
- 2ème sur la crète à la sortie du Golf de St Nom, direct Rennemoulins sans passer par Villepreux
Jaune : 39 km (= parcours de base)
Bleu : 43 km avec 2 extensions principales (+qq petites variantes pour les petits coups de culs)
- 1ère (au début) attention, juste après le cimetière de FF, boucle par le parc de la Faisanderie (2 passages sous l'A12)
- 2ème (sur la fin), à Villepreux, tour du domaine de Grands maisons (champ labouré juste avant le mur, il faut redescendre à la route et remonter tout le long du mur à partir du carrefour à l'entrée de Villepreux)+ tour du château.
Bonne route
Nous étions 13 au départ du COBA ce matin à 8h30 par un temps gris et humide, de saison ; a priori, tous avaient pris connaissance du changement d'heure et personne ne s'était pointé à 7h30.
On ne dira rien, mais on constate qu'Edouard II a dû séquestrer son père pour lui piquer son beau vélo ; ce n'est pas bien, mais on peut comprendre que ça donne envie.
Alors que nous allions partir, après quelques minutes de discussion sur les bienfaits respectifs des parcours de 39 ou de 43km, et la conclusion qu'un seul GPS pour tout le groupe risquait d'être insuffisant, Patrick L. décide d'aller au COBA prendre un 2ème appareil soigneusement préparé par notre guide préféré, aujourd'hui absent. Il était presque 8h40 et nous allions enfin y aller.
C'est alors que nous voyons arriver la voiture de Luc.
Pom pom pom, je décharge mon vélo, pom pom pom, je vérifie que j'ai bien toutes les roues, pom pom pom, ah oui, le casque, pom pom pom, ai-je bien chargé les traces du jour sur mon GPS (qui vit ses derniers instants, paix à son âme) ?, pom pom pom, je suis en avance, non, pour 9h ?
Nous partons donc pour le parcours des 3 châteaux, dans l'ordre indiqué sur le programme, tous (à 14 donc, si vous avez bien suivi), sur le parcours long, 43km, en direction de Versailles.
Arrivés à la barrière de Fontenay, un regard vers l'arrière montre qu'il manque déjà un bon tiers de la troupe sans qu'on ait entendu le moindre cri ou appel. On attend un peu, on revient quelques hectomètres en arrière, on téléphone : rien.
Finalement, un appel reçu au standard de la course, nous signale qu'une chute de Luc s'est produite mais que le pilote et son escorte pourront rejoindre le groupe par l'avant via un itinéraire détourné. Apparemment le bonhomme n'est pas trop touché ; en revanche l'équipement électronique a perdu significativement de son étanchéité dans l'échelle IPX (pour ceux qui ne connaîtraient pas : http://fr.wikipedia.org/wiki/Indice_de_protection).
Voilà, voilà, on discute, on discute, mais à 9h pétantes, nous avons bravement atteint les 2km au compteur !
La suite se fait sur un rythme plus élevé, jusqu'à un premier arrêt déshabillage à 3,5km. Ouh, on bien roulé là !
C'est alors que se présente le morceau le plus pittoresque du parcours, un tronçon inconnu du COBA bien que tout proche ; étonnant... Et bien, maintenant, on sait pourquoi... 300 mètres de sentier verdoyant, harmonieusement et sans discontinuer décoré de centaines de papiers blancs, parfois un peu de rose. On ne les voit pas forcément au premier coup d'oeil, mais on imagine que chacun d'eux est accompagné de son petit paquet mou et sombre. Hum...
Des chiottes à ciel ouvert, pour être clair...
La ferme de Gally, le parc du Château de Versailles, Le Chesnay et son centre commercial Parly 2 si cher à notre non moins cher Marco.
Puis une partie plus boisée vers La Celle St Cloud, puis Louveciennes.
Non quelques minutes d'incompréhension : on décide de faire 2 groupes pour permettre aux moins fringants d'éviter une petite boucle... puis finalement tout le monde prend la version longue après que le premier groupe soit parti et que ceux qui étaient restés n'aient pas jugé utile d'écouter les instructions... ils sont où ? Ils devraient être là maintenant... mais on vous a perdus, attendez-nous !
Un trio nous abandonne bientôt pour effectuer un retour plus direct.
Le reste de la troupe continue vers Marly (2ème château), en laissant à Florent la liberté d'improviser dans un secteur riche en singles.
Puis, un peu plus tard, John, malgré les coupes de bois qui encombrent le chemin, nous encourage à rester sur le parcours, parce que c'est quand même plus fun.
Après une Nème traversée d'autoroute (A12 puis A13, un record aujourd'hui certainement), nous approchons de St Nom la Bretèche. Sans doute déconcentré par la pression mise par ceux qui estiment (à torts) qu'on n'est pas sur la bonne trace, le guide croyant à une originalité de parcours imaginée par le traceur, embarque le groupe sur une variante qu'il aura du mal à justifier sans que ça se voie. On en est quitte pour une petite rallonge et un peu de route bien fréquentée par les voitures en ce dimanche matin.
Sourds à toutes les possibilités de raccourcis qui se présentent à eux malgré l'heure qui avance (mais on apprendra plus tard que la plupart d'entre eux étaient momentanément célibataires, ce qui peut expliquer...), nos vaillants coureurs, comme un seul homme, suivent scrupuleusement la trace prévue jusqu'à Villepreux.
Là, la vaillance et la lucidité ayant atteint leur limite, personne n'a l'initiative de remonter le champ le long du mur pour remonter à Grand Maison comme prévu et pourtant annoncé par le chef vénéré dans la semaine.
Un peu plus tôt, Edouard Ier, ayant oublié d'expliquer à sa monture qu'il fallait éviter les barrières nous avait gratifié d'une belle figure ; sans gravité.
Retour par l'allée Royale, qu'on espère aussi roulante pour le 9 novembre (20km).
En bas de Fontenay, la plupart décide de rentrer par la route, mais John, sans doute parce que c'est plus fun, persiste à finir le parcours correctement en remontant par le bois, entraînant dans son sillage un petit groupe qui ne voulait pas le laisser seul mais où, pourtant, tout le monde n'était pas très frais pour faire ce dernier effort.
Tout le monde finissant par arriver à bon port, même si en ordre dispersé.
Bonne semaine.
Apparemment je me suis un peu mélangé ds les dates ...
J'ai inversé les parcours prévus dimanche dernier et dimanche prochain ....
Alors voici donc le menu pour dimanche prochain : 2 circuit des côtes
bleu = 37 km + 600m
violet = 47 km + 800m
avec possibilité d'améliorer l'ordinaire aux gouts de chacun !
NB : pour faire plaisir à Eric, on les fera à l'envers (j'ai retracé pour que ce soit possible)
20 au départ ce matin du COBA. Et comme le chef était là cette semaine, on est parti presque à l'heure prévue ; ce fut chaud pour les habitués du 8h35 (Jacky et Eric) !
Puis seulement 19 après que Florent eut jugé plus raisonnable de ne pas aggraver une blessure.
Un 37km et un 47km étaient au programme, sous un temps toujours menaçant mais qui ne donna pas une goutte de toute la matinée.
Seulement 3 décidèrent de faire le parcours long, les autres préférant les grandes allées plutôt que les singles ; chacun son choix :-)
C'était le circuit des côtes, mais en fait, ce fut surtout le circuit des chasseurs. On entendait tirer un peu de partout.
Dans les parties boisées, pas trop de risque, mais dans les zones dégagées entre Ponchartrain, Maurepas et Ergal, c'était déjà beaucoup moins sûr.
Après avoir évité, une zone indiquée "Chasse en cours" du côté de Villeneuve, nous avons été avertis par un chasseur près d'Ergal, qui nous trouvait bien imprudents de rôder dans les parages un jour de chasse. Apparemment, il n'avait pas une confiance démesurée dans tous ses collègues : "Vous pouvez tomber sur un chasseur fou ; il y en a, dès qu'ils voient du gibier, ils paniquent, et ils tirent... Là derrière la crête, on vous voit à peine arriver... Vous pouvez prendre du plomb... C'est vous qui voyez".
Heureusement, cela n'est pas arrivé, mais la remarque donne à réfléchir quand même...
Circuit des côtes, même à l'envers, ça monte quand même ! Et les 50km au compteur à l'arrivée (avec les singles du pied de la butte qui furent faits en bonus), même sur sol sec, ont été jugés nettement suffisants par les participants à ce groupe.
Dimanche prochain, tous les volontaires pour participer à l'encadrement de la course Royale (20km) seront les bienvenus.
C'était les 20km, Versailles-Bois d'Arcy avec notre Eric en participant CàP...
Un petit tour en train et puis s'en va !
Hier pour la sortie en train, une vingtaine de VTTiste au départ de B.A pour un aller simple " le Perray en Yvelines". Nous récuperons J.Michel en cours de route et Pom Pom Pom en gare du Perray.
Après avoir réglé tous les "GPS" , impossible de se perdre !!!! ,le départ est donné.
A peine parti ,la pluie s'invite sur le parcours, les Kway sont de sortie, ca risque de glisser dans les Vaux de Cernay.
Un seul groupe avec quelques variantes et parfois un peu plus de singles pour les Furieux .
Avec la pluie et la boue, la fatgue se fait sentir, le groupe se disloque peu à peu , sur la fin Papia préfère rentrer par la route avec Luc .
le " Chat noir du jour" est Patrick qui a crevé deux fois mais tout le monde rentre en ordre très dispersé ce qui permet de laver les vélos qui en avaient bien besoin mais leurs montures aussi , sur le podium Florent, Eric et Ramzi. Comme dirait Nico " le copain de tout le monde" , une vrai sortie de VTT avec des pilotes couvert de boue.
Pour la petite histoire c'est Philippe qui a nic nic tous le monde après avoir " sucer" la roue de Thierry.
Au Cobar Peggy et Franky nous attendaient à l'apéro .
Que du bonheur
hello,
Allez, je m'y colle pour me faire pardonner (voir à la fin ...)
18 au départ + Jean Mi "raccroché" à la ferme du Manet.
0° au thermomètre ... des pieds au frais, mais du soleil dans la tête !
Petit passage boueux (prévu) entre le Manet et Port Royal.
Sauf pour Papia, galamment escortée sur du sec par un Eric très prévenant.
(Dis donc Luc, au VTT, << C'est quoi une "escort girl" ? >> Grrrrrrrrrrrrrrrrr )
Tiens, Eric aussi avait besoin de regagner des étoiles au "top ten" de Papia ...
Descente à la chapelle de Port Royal (pas de messe !) et remontée aux Granges ...
Un peu de plat au sec, avant la jolie plongée dans le vallon de Saint Lambert et ...
Remontée musclée mais possible (pas pour tous) sur le plateau de Chevreuse.
Séparation en 2 groupes : avec ou sans visite du château de Chevreuse !
Retour par le lavoir de Maincourt (petit soleil d'Olivier ...) et l'église de Lévis pour le 42,
Plus direct pour le 36 qui s'est "débarrassé" de Jean Mi aux confins du Mesnil.
Arrivée échelonnée entre 12h et 12h15 pour déposer son obole dans l'urne du Téléthon.
Apéro "Téléthon" prolongé ... offert par le COBA et remise de notre participation aux édiles.
A dimanche pour faire la sortie prévue en fait .... pour aujourd'hui !!!!!
Eh oui, le chef n'a plus toutes ses facultés mentales !!!
personne n'a rien vu ... ou n'a rien dit !
(alors Eric, on se relâche !)
Bonne semaine aux gros travailleurs
(qu'est ce que tu dis Lu..., tu ne sais pas ds quelle catégorie tu es ?)
Et peut-etre à vendredi pour les autres ...
hello,
Aujourd'hui, c'était une sortie d'hommes (19) !
Faut dire que 2°,du brouillard, un peu (TDU ?) de boue promise ...
Pas de quoi motiver notre femmes club,
Plus promptes à rallier Parly2 par ces temps ....
Tant pis pour nous, on fera sans leur agréable présence !
1ère partie vallonnée, essentiellement en forêt,
Petit tapis de feuilles, grandes allées ou singles,
C'était très agréable ... jusqu'à la sortie de Neauphle !
Pour la 2ème moitié, via Beynes, Thiverval, Villepreux ...
Succession de chemins en rase campagne humide (air & sol !!!),
Avant Beynes, 4 volontaires seulement pour l'extension,
grasse, voire très grasse avec du brouillard toujours et encore ...
Bravo aux 4 courageux dynamiques qui n'ont eu aucun répit,
Même que le "chef" a eu un remord (tardif !!!) pour le tracé du 42 ...
Pour les 15 "timides", fin de parcours "praticable" mais ça tirait !
Arrivée à 12 h pile pour les premiers, 12h30 pour les derniers,
Francky était déjà là avec son pot de rillettes et sa baguette (sans "r") fraîche,
TomTom (Thomas Plançon) nous ayant fait parvenir du Comté fruité,
Ce fut un bel apéro, Ô combien mérité, qui a lui seul valait le détour !!!
Merci à eux 2, après l'effort ... le réconfort !
Dimanche prochain, Thierry aura son parcours "spécial piste cyclable",
Du goudron, encore du goudron, QUE du goudron !!!!
Pour ne rien changer à nos habitudes c'est une sortie d'hommes qui est proposée ce dimanche de printemps.
Un petit frais (6°) au départ.
13 bikers prêts à en découdre avec le parcours.
3 GPS...
Un départ commun qui nous permet d'éviter la plaine de Fontenay, qui a laissé des stygmates à certains depuis une certaine sortie hivernale ou nous avons laissé empruntes, watts et motivation !
Bref cette fois-ci nous partons pour un 40-47km pas très clair on verra au fil des kilomètres.
Jouant à la fois du GPS pour garder le cap et pour prendre les bonnes traces, certains chemins, singles se proposent à nos roues ! On s'écarte parfois du chemin mais quel plaisir de trouver des traces non tracées au GPS mais bien présentent au sol pour jouer entre les arbres, pratiquement éviter les zones boueuses...
Bon mais dans tout cela, une petite crevaison fontenesiennes... quelques jeux de pistes et nous voila séparés en deux groupes !
Je me retrouve donc avec 4 personnes, j'en déduit que l'autre groupe est composé de 8 personnes avec deux GPS ça va le faire.
La fin sera dure, car la plaine évitée à l'allée nous appelle telle les sirènes du Port d'Alexandrie ! Le groupe de 5 s'étale sur 2 km au moins mais on décide avant de rejoindre fontenay ville de se regrouper. Malgré tout le groupe se sépare à nouveau avec un départ par la route, un départ par la fôret.
Arrivés vers 12h00 pour les premiers, le second groupe nous rejoint 10minutes plus tard, fourbu mais content de pouvoir boire un coup !
Ce fût une belle sortie 45km pas loin de 1000m de D+ avec quelques variantes et singles qui méritaient d'être plus longs.
@ dimanche prochain pour les plus courageux
Deux traces ce matin.
Un 48km fort sympathique
Un 60km, un peu plus corsé surtout pour se rendre sur les traces de la Jean Racine que Matthieu veut nous partager.
Un départ anticipé à 8h15 pour tenter de couvrir cette longue distance dans un temps raisonnable.
Ce n'est pas tant la distance d'ailleurs qui fait peur, mais les 900m de D+ avec les passages techniques.
Nous nous retrouvons alors à 7 (pas la ville hein !) pour attaquer cette boucle prometeuse.
Un départ dynamique pour rejoindre les premiers trails. Des singles en veux-tu en voilà puis une première descente technique avec virages, marches, racines, mais le terrain est sec et le grip est là alors on peut lâcher les freins, c'est d'ailleurs ce que fait Matthieu qui a encore en mémoire la trace et qui lâche sans se poser trop de questions.
S'en suivent montées épiques, descentes scabreuses mais sous contrôle... Le rythme est là, les 7 gaillards ne palissent pas, même si certaines montées font mal...
Le retour se fera un peu plus éparpillé, chacun ayant laissé plus ou moins d'énergie dans ce superbe terrain de jeu des Vaux de Cernay...
3h30 après le départ les premiers arrivent, la banane en guise de sourire.
Heureux aussi de retrouver les copains de l'autre groupe qui mangent. Merci à Franky qui nous a accueilli avec pain frais, paté, fromage !
La fête des mères.
En ce dimanche 31 mai nous étions plus d'une quizaine au départ du parking de Bois d'Arcy.
Deux parcours pour rentrer au plus tôt et fêter nos mamans.
un 42km
un 47km
Rapidement deux groupes se forment pour attaquer le single des Laffon ! Quasiment refait à neuf sur une grosse partie du parcours il est technique et joueur.
Dans le groupe "dynamique" composé au départ de 7 personnes, ça va bon train ! Les singles s'enchaînent, la trace est sèche, les racines ne glissent pas, les quelques marches sont faciles à passer.
Au bas des singles les deux groupes se rejoignent. Patrick Lemaitre, avec son beau dérailleur tout neuf en profite pour nous abandonner et rejoindre le groupe "plus calme".
Passé le Rhodon on prend la belle montée qui donnera du fil à retordre à Olivier. Absent pendant 4 semaines, se lancer à fond sur les singles au petit matin on eu raison de lui ! il reste tout de même avec nous mais dans la montée du Bois de la haute Tasse, pierreuse et piégeuse il décide de rentrer plus calmement. Philippe Malle le raccompagnera
Le suite se passe sans encombre, on rejoint même une single très technique, limitre trialisant que nous cotoyons rarement. C'est encore sec à cette heure, il est donc assez facile à passer même si quelques pièges, racines, pierres font qu'il faut placer la roue avant au plus juste !
Sauf que Jean Luc nous grattifie d'une première crevaison ! Fait pas bon de rouler en 29' en chambres à air, le budget CàA et rustine est considérable. Bon ce n'est pas du niveau de Philippe Brunel et ses 4 crevraisons en une seule journée en Auvergne (sur la même CàA), mais Jean Luc est souvent sujet aux crevaisons...
Le retour se fait plaisiblement à 4, puis une fois les singles de Minière à 3, Jean Luc ayant pris une autre option, puis à 2 quand Erice décide d'attendre Jean Luc... Qui a à nouveau crevé !
C'est donc par l'Epi d'Or puis le Bois Cassé que Florian et Nico rejoignent le COBA où les radonneurs se joignent à nous pour occuper le local.
Un temps magnifique ! dimanche 7 juin c'était la sortie Clamart. Petit périple de 54km ou 48km selon la forme et l'envie de chacun.
Un départ proposé pour 8h15 pour le "grand" et 8h30 pour l'autre... Oui mais voila, Francky propose une alternative avec un déaprt cool à 9h !
Bon jusque là rien de dramatique 2 ou 3 départs chacun y trouve son bonheur c'est l'essentiel.
à Bois d'Arcy il y a la brocante alors pour se garer c'est un peu galère... Mais bon à 8h15 nous nous retrouvons à 6 !
Jean Luc, Thierry, Saad, Patrick L, Florent et Nico.
Départ direction l'épi d'Or, Jean Luc nous gratifie d'une première crevaison, il décide de réparer tout en constatant que son pneu souffre d'une déchirure latterale le long de jante ! Nous repartons et voila que 200m plus loin j'entends un pshiiiitttt ! Devinez...
C'est Jean Luc qui crève à nouveau la déchirure ne protège pas assez la CàA qui se retrouve coupée par la jante. Il décide alors de rentrer à pieds, attention aux loups tout de même, en rentrant seul, à pieds on ne sait jamais !
Je prends donc la suite de la route, les 4 autres rigolos étant partis par le haut direction les singles de la Minière (non prévus au programme, mais FLorent ne sait pas se raisonner...), j'envoie un SMS pour dire que je les attend au bas de la Minière... Et seuls 3 d'entre eux me rejoignent, T faisant machine arrière !
Ah oui je ne l'ai pas dit mais Thierry a changé sa transmission mais son plateau est usé et du coup quand il appui fort, la chaine saute ! DU coup il a du penser qu'il allait galérer et nous fausse compagnie !
Bon à ce train là en quelques 6 km on fait déjà moins 2, le quota est dépassé ! Vigilance.
Nous arrivons alors sans encombre sur Jouye pour les premiers singles, Saad commence à montrer quelques signes de faiblesse...
Direction Clamart, où nous nous attendons entre chaque difficultés pour garder un groupe (même si nous avons deux GPS)... et à Velizy, Patrick nous dit qu'il préfère rentrer avec Saad et nous laisser rentrer à notre rythme.
Avec Florent on rajoute quelques singles, des belles descentes, quelques coups de culs qui nous font revenir par le chemin de l'aller et non le chemin prévu... Malgré tout c'est sympa car on prend des endroits peu fréquentés.
Ce qu'il faut toutefois noté c'est qu'en cette belle période estivale, lorsque l'on va rouler en zone plus urbanisée que celles que nous cotoyons habituellement, nous rencontrons plus de monde. Marcheurs, coureurs, cyclistes... Chacun à son niveau et parfois, voire souvent avec peu de respect pour les autres usagers !!! Une fois ou deux on manque de se prendre un vttiste qui arrive en face, fond de calle à gauche dans un virage serré sans visiblité... Il faut rester passible devant une telle bétise, car ils ne se rendent pas compte des risques, mais ce n'est pas très grave on a évité le pire pas moins de 10 fois en cette matinée...
De retour au COBAR vers 12H où Francky et Edouard attendent patiemment les retardataires, j'apprends que le petite groupe de 9H était composé de 8 faigant, ainsi nommés par Francky lui même !!! Même Jacky qui m'avait dit qu'il serait de la partie pour la sortie Clamart... Bref 20 minutes plus tard il est temps de repartir et voila Saad et Patrick sur le retour !
Au final 57km bien pesés pour une super sortie à faire et à refaire, avec un peu plus de volontaires !
juin 2016. En regardant les notifications faceboo, je constate que Francky est Landais et partage les images d'une randonnées dans ses terres. L'extrême Chalosse !
Après m'être renseigné, je comprends que nous sommes dans le sud des Landes, au plus près des Pyrénées, et, de ce fait, que le paysage est valonné !!!
Tout ce que j'aime au final, aller découvrir des nouveaux chemins, de nouvelles traces, et, autant que faire se peut, que le le terrain soit valonné...
Je n'aurais de cesse de demander à Francky de nous organiser un petit weekend là-bas, mieux encore, pour l'Extrême Chalosse 10, soit la 10ème édition de cette randonnée concoctée par un petit club, qui ne paie pas de mine mais qui bosse et propose un truc de fou !
Un an à suivre de pret ce club, voir les travaux réalisés sur la tracé pour proposer, ponts, passages, ouvertures de singles, débrouissallage... Bref depuis septembre 2016 le club s'organise pour acueillir 600 participants, vtt et piétons !
Cela donne vraiment envie et j'ai hâte d'être au 11 juin 2017, jour J.
https://www.youtube.com/watch?v=fmWrH0fJ3OU&feature=share
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samedi 10 juin 2017, 5h20, dans une rue de Bois d'Arcy, nous voici, Franky, Florent et moi-même, cours de chargement des vélos et sacs pour partir vers Nassiett, terre promise.
Quelques 7h après et deux arrêts pipi, nous voici, accompagnés d'Edouard qui a fait le déplacement depuis Limoges, chez Franky, dans son pieds à terre local.
Après un repas attendu avec impatience, Florence et moi-même décidons de partir rouler, histoire de se dégourdir les jambes, d'aller découvrir les alentours, le terrain...
Ce sera principalement du goudron et un tour de Lac, mais on voit bien que le terrain n'est pas plat et que, combiné à la chaleur suffocante, l'Extrême Chalosse, ne se désigne pas seulement par la longueur (30,40 ou 50km et 600, 800 ou 1200m de D+) mais aussi et surtout par les conditions climatiques, chaudes et très humides (93% d'humidité dans l'air).
La nuit se passe bien, il est 6h, il faut penser à se lever pour aller déjeuner, et partir à Nassiet à vélo, soit quelques 3km pour se chauffer. Le départ pour le 50km est prévu à 8h, mais il faut s'inscrire et il parait qu'il va y avoir du monde. Nous arrivons parmi les premiers (N° 14 à la tombola) et patientons, voyant arriver les locaux, des clubs entiers et quelques freelance.
8h11, le Go est donné, un encadrant lance les hostilités en menant le groupe du 50km tambour battant, Francky aux avant-postes.
Ne vous inquiétez pas, il ne fera que le 30km et s'est cramé sur le sprint !!! Edouard a prévu le 50km, changera d'avis pour se rendre sur le 40 et ne faire au final que 33km !!! Mais c'est déjà pas si mal.
Florene et moi sommes dan sle groupe de tête, les crosseux partis comme des balles et rattrapés dès les premières zones techniques, assez nombreuses, virevoltantes et rigolotes !
Mais 50km c'est long, il faut jouer quand c'est technique et garder des jambes sur les zones goudronnées ou le long des champs herbeux... Et encore une fois la chaleur est là, 28° à 11h mais 93% d'humidité, ça calme, surtout dans les sous-bois...
Nombreux arrêts, ravitaillements sont proposés tout au long du parcours, pas moins de 5 ! Et le premier dès 8km !!! Les crosseux qui nous ont doublés sont déjà à l'arrêt ; et ce sera ainsi tout le long, nous doublant sur les zones roulantes et à l'arrêt à chaque ravitaillement.
Bref le terrain est top, super sec, sauf quelques zones très humides, nous croiserons les marcheurs, doublerons ou serons doublés, mais tout cela se fait dans la bonne humeur, sans agressivité, sans nervosité, toujours avec un petit mot sympa ! Ca change des randonnées franciliennes !!!
3h35 de ride, 55km résumés en 25'.
https://www.youtube.com/watch?v=9yu_605TwH0&t=11s
Weekend du 1er mai 2017.
Nous attendons cela avec impatience dans le groupe des loucedés !!!
Cette année pas d’inscription à cette épreuve mythique qui demande un investissement certains en phase préparatoire. Toutefois les terrains de l’Herault attirent et donnent envie d’aller y rouler.
Nous avons donc décidé d’aller, pour certains découvrir, pour d’autres revivre ces fabuleux trails.
Départ jeudi après-midi sous un ciel bleu sur l’île de France mais menaçant en avançant… Sur Clermont Ferrand et jusqu’à Millau nous aurons même la neige qui nous accompagne sur l’autoroute.
Arrivés sur Olargues vers 22h nous prenons quartier de notre gîte pour le weekend.
Après une courte nuit, nous voilà debout vendredi matin vers 7h pour une première partie de notre périple programmé en 3 étapes.
Nous avons souhaité parcourir les 3 boucles de l’épic 2017 sur 3 jours.
Première ascension au départ d’Olargues, direction Saint Martin du froid ! A 1070m
Cette boucle ne fait que 38km mais pratiquement 2000m de D+.
Le départ se fait paisiblement sur la route avec une montée longue régulière.
20 minutes plus tard, nous voici à arpenter un chemin rocailleux, la pente se durcit, les passages sont plus compliqués. Il est temps de passer au poussage ou au portage, tant bien que mal car le vent s’est levé et nous pousse en arrière !
C’est à ce moment-là que Freddy nous informe que sa arrière, déjà bien fatiguée, se voit amputée d’un rayon. Il décide toutefois de poursuivre jusqu’au plus haut point de l’ascension ou, en plus du vent, la température a fortement chutée.
Après quelques kilomètres parcourus sur la col, Freddy se voit contraint à rebrousser chemin, sa roue ne tiendra pas le coup, la première spéciale/descente est le Bardou, ancienne voie romaine, très pierreuse, très piégeuse !!!
Nous voici arrivés, Matthieu, Florent et moi-même au sommet ! La vue est superbe et nous avons hâte d’aller tâter de la roche !!! l’air et le sol sont sec, c’est rassurant pour affronter cette descente, longue et physique.
Les meilleurs sur une épreuve comme l’Epic mettent 20 minutes pour descendre, alors que les derniers mettent jusqu’à 1h…
Nous voilà donc nous élançant tous les trois, puisque Freddy a du redescendre ce que nous avions péniblement monté en 2h15, sur cette superbe voie romaine, usée par le temps et où chaque dalle scellée, révèle une autre dalle, ou un caillou qui a poussé entre chaque dalle …
La pulpe étant bien décollée sur les premiers mètres, cela permet de se mettre dans le bain et de se lâcher au fil des cailloux qui n’attendent qu’un seul faux pas de notre part pour nous marquer, tel un fer rouge sur le cuir d’un animal !
Au fil des épingles les sensations sont là, les dalles s’enchaînent, quelques sauts ici ou là, puis une marche béante se propose à nous, en sous-bois ! Réflexion faite, soit on la passe, au risque de voir son weekend s’arrêter là, soit on décide de la prendre à pied… Toutes les options sont possibles, chacun est libre de choisir la suite à donner à son weekend…
Entre temps, Matthieu aura posé son vélo et surtout son shifter droit sur un caillou qui aura cassé net le collier… Et aussi fait un joli poc à sa jante arrière légèrement sous gonflée.
Arrivés en bas, un peu moulu mais ravi, avec la banane, nous nous trouvons sur Mons la Trivalle. L’occasion d’appeler Freddy et de le rejoindre vers Olargues, via la voie verte, 4 km de voie plate.
Nous prenons le temps de déjeuner et décidons nous mettre en quête d’un réparateur de cycles… Quelques kilomètres parcourus et nous voila en contact avec un petit bouclard qui se débrouillera pour dépanner Freddy en changeant le rayon cassé en redressant ceux détendus…
Nous sauvons alors l’après-midi et le weekend de Freddy et nous voici partis pour remonter derrière Olargues pour aller chercher un combiné de spéciales Mienne-trotinettes.
Quelques 750m de D+ après, 1h20 de pédalage sous une chaleur importante, nous arrivons avec satisfaction vers cette belle descente.
En sous-bois, elle propose principalement un terrain terreux, enraciné avec quelques sauts. Peu de pierres, nombreuses épingles, et surtout de la pente… Peu difficile en soit, peu technique, elle permet de retrouver des sensations bien différentes de celles vécues le matin.
Avec tous ces aléas, les temps de liaisons, et les arrêts, il est 18h, il est donc temps de rentrer.
Samedi matin
Levés vers 7h, le ciel est radieux et le vent est tombé !
Temps idéal pour aller découvrir la boucle 2 qui va nous demander quelques 1800m de D+ d’effort sur une boucle d’environ 40km.
Au départ d’Olargues nous prenons la liaison que j’avais prise en 2014, principalement goudronnée dans un premier temps. Arrive ensuite un passage technique de dalles rocheuses où nous alternons pédalage et poussage pour éviter de se fatiguer. L’occasion de s’arrêter, Matthieu se rend compte qu’une rayon (décidemment) de sa roue arrière, suite au POC de la veille est fortement détendu. Nous bricolons un truc arrivons à retendre le dit rayon et nous voila repartis à pieds, la pente est rude.
La reste de la liaison se fera toutefois à vélo, en prenant une partie de liaison nous ayant amené à la Spé 2 de la veille (La Mienne).
Direction les Crètes XXL.
Pour tout vous dire, je redoute cette descente, celle qui a eu en 2014 la joie de me faire tomber et ma casser mon doigt !!!
C’est donc avec un petit pincement je me lance s’en m’élancer, dans ce champ de mines, ou les dalles rocheuses n’attendent qu’une chose, la chute pour vous marquer à vie !!! Dédale, avec de la pente, des marches, des cailloux qui poussent du sol, les dents tournées vers le haut… Nous y allons prudemment, certains passages se font à pieds tant la pente est rude, le chemin étroit et la trace incertaine… Arrive le goulet
Sorte de grosse marche qu’il faut réussir à enrouler pour peu que l’on sache où poser la roue avant et que le corps ne bascule pas trop sur l’avant, la réception est courte et plutôt inamicale…
La suite se fait plutôt sans encombre avec une seconde partie plus roulante, entre les arbres.
Arrivés au point le plus bas, il faut monter vers Mini Jurassic.
Longue montée sous une chaleur accablante, où nous décidons, arrivés en haut de nous alimenter, il est 12h45, il est temps de redonner du cœur au corps, des forces aux muscles.
Mini Jurassic sera une courte et inintéressante spéciale, quasiment plate, on se dit que dans le profil de la course à ce moment-là, l’objectif ultime était de cramer des participants pour épurer l’épreuve…
Courte mais éprouvant liaison avec un portage usant, pour aller vers « Le Pin », superbe descente à travers les arbres avec beaucoup de sinuosité, on se serait presque cru à la maison, tant le terrain, terreux et sans difficulté majeur nous a accompagné en bas… Un grand plaisir, tout le monde à la banane, les organismes se portent bien, et chacun est ravi…
Arrivés à un cimetières, Freddy et Matthieu vont recharger leur poche à eau, Florent et moi-même avons semble-t-il encore à vue d’œil un bon litre et il ne reste qu’une seule liaison vers la dernière descente du jour, Colombière.
Liaison longue sans grande difficultés, mais avec un peu de poussage car la fatigue nous gagne…
Nous voici prêt à fondre sur la dernière du jour ? Colombière, qui se présente de prime à bord assez agréable, sur un terrain terreux, peu de dalles, quelques racines, en sous-bois… Mais rapidement le terrain change de nature, avec un champ de rocs, des cailloux plus gros les uns que les autres sur des passages étroits, il faut aussi pédaler, car la descente, monte, s’aplanie puis replonge dans un dédale d’épingles plus serrées et plus pentues les unes que les autres ! Des grosses marches quasiment infranchissables se succèdent les unes derrières les autres, en sauter une ok, en enrouler une autre pourquoi pas, mais attention à l’atterrissage, à la zone de freinage ! C’est la guerre pour Matthieu, la pire de toute pour Florent qui l’avait vécue l’an dernier comme le dernier enfer !!! Freddy n’en pas plus mais, n’en pense pas moins ! Pour ma part, je subis, ou je passe, les freins chauffent , les muscles se tétanisent, les doigts surtout, penser à garder un doigt sur le frein sans trop y toucher, tout en gardant la bonne pression sur le cintre pour tenir le vélo ! Le terrain se joue de nous et nous fait aller là où il veut, il faut se battre pour rester debout, pour rester sur le vélo !Descendre à pieds ? C’est pas mieux, il y a des passages tellement pentus, tellement serrés que si l’on passe à pieds, il faut soit jeter le vélo avant soit espérer avoir les bras assez longs pour le prendre après !
Nous voilà enfin en bas, bus, fourbus, Debus !
Nous nous déshabillons pour nous mettre à notre aise, casque intégral, coudières, genouillères se trouvent dans le sac ! Nous attrapons la voie verte pour une dernière fois, direction Mons la Trivalle où nous allons nous désaltérer autour d’un verre bien mérité, avant de rejoindre Olargues et notre lieux de villégiature.
Vidéos
Jour 1. : https://www.youtube.com/watch?v=mTmKnAg478k
Jour 2. :
Les sorties dominicales 2016-2017
Le 4 septembre 1870 Léon Gambetta déclarait la troisième république, hier, le 4 septembre 2016 tout le monde s'en foutait au départ de notre promenade hebdomadaire.
La vedette du jour Patrick et son VTTAE faisaient l'objet de commentaires élogieux sur le parking quand Francky pointât son nez , signalant à qui voulait l'entendre que l'orgie de la veille risquait d'avoir des répercussions sur ses performances.
On peut penser qu'il s'agit de performances physiques, mais en fait en commençant a se planter de trajet dès la traversée de Fontenay, il montrait que c'est dans son crane que les vrai dégâts avaient eu lieu.
Dans la forêt de Marly, très vite nous apprenons à apprécier des petit panneaux qui nous indiquent exactement le chemin à suivre, malgré ces repères, nous ratons encore un virage, toujours pour les mêmes raisons qu'a FLF. Le balisage nous permet de rester sereins, dans les descentes, dans les cotes, tous, nous nous félicitons de cette heureuse initiative de l'office du tourisme sylvestre. Le temps passant, nous croisons quelques sportifs dont les vtt sont curieusement décorés avec des petits panneaux numérotés, tous s'obstinent à prendre notre trace mais à l'envers.. La chose se confirmera après la gare de Marly, une troupe de plus en plus dense remonte à contresens..
Nous suons un peu, mais il fait doux, le ciel bouché nous évitera l'insolation, mais comme il n'a pas vraiment plu tout est bien sec. Nous ne roulons pas très vite, c'est la reprise pour certains.
A l'endroit ou le 38 et le 43 se séparent, et après un demi-tour de plus pour cause de pilote de gps mal luné, tout le monde adopte le trajet 43 !. Nous descendons sur Chambourcy, les passages ravinés et le chemin mal pavé seront avalé à vitesse raisonnable par Ludo, les plus rapides l'attendent gentiment à l'ombre.
Le segment qui nous amènera du golf à l'A13 deviendra vite compliqué car nous y affrontons un flot dense de randonneurs à vélo et à pieds, certains évoquent une certaine randonnée bien connue qui serait prévue de longue date, dont nous gênerions le déroulement. Nous obliquons obligeamment pour escalader un casse patte infernal et rejoindre un chemin plus large.
Un petite pose chocolat permet de goûter le délicieux ‘côte d'or citron -gingembre' amené par mes soins.
Tout au long du trajet, Patrick, qui tire le meilleur parti de son VTTAE se placera aux intersections importantes pour assurer un écoulement fluide de l'équipe puis remonter la troupe comme un furieux pour recommencer plus loin.
Au moment où nous rejoignons la piste du 38, John subit une crevaison. Un petit groupe de 3 (Fred /Jean-MI, Ludo) se sépare pour prendre de l'avance pendant la réparation, ces valeureux ne seront jamais rejoints. Le trio suivra le parcours GPS fidèlement jusqu'a Villepreux, puis après, ce fut au plus simple, par l'allée royale joliment refaite, puis la cote de la gare.
Ce n'est qu'après une loOOOOOongue attente (nettoyage des vélos + pastis) que l'on vit arriver au compte-goutte le reste de la troupe. Je sais que ces derniers tiennent à conter leurs exploits, et que mille choses merveilleuses leur sont arrivées sur les 5 derniers kilomètres, je tiens néanmoins à prévenir le lecteur de ne pas trop y accorder foi...
Du côté des loucedés !
La Verte Ballancourtoise
Au programme dans le Gatinais, un 60km associé à 1200m de D+ !
Entre singles, dévers, montées infernales, et descentes tout aussi épiques, le tout avec du sable de la roche et quelques em... bûches, il faudra 4h00 pour ralier les 50km (et oui on en a perdu 10 entre le départ et l'arrivée...) mais tout de même ! Bon ce ne fût pas si simple, avec les 5 premiers km parcourus en 45', nous craignions alors de rentrere tout juste avant la nuit, mais la nuée de riders et véttistes du dimanche, que nous sommes aussi, mais qui était devant nous, s'est au gré des km éparpillée, soit en prenant d'autres traces, soit pour des raisons techniques ou physiques...
Bref une belle matinée comme on les aime avec un peu de tout et surtout du très varié et du très difficile !!!
50km et 1100m de D+ ce sra au final notre dernier mot, mais quel mot, sans maux, à part aux jambes, ce n'est tout de même que la reprise pour nous même si c'est la fin de de saison pour le VTT dans le monde entier !!!
Le forum des associations ayant eu lieu la veille, les nouvelles recrues motivées ce sont présentées à nous pour en découdre avec les trails et se tester à l’ambiance du COBA !
Nous étions donc pas moins d’une vingtaine en ce dimanche humide, mais chaud pour aller se promener sur le circuit des Singles, proposé en trois variantes.
Un 30km pour se tester, se remettre en jambes
Un 40km pour ceux qui ont déjà repris depuis quelques semaines et qui veulent se tester sur d’autres parties encore plus ludiques
Enfin un 50km prometteur qui convie les plus motivés à prendre en plus de la distance pas mal de dénivelés.
Sur le 50km nous sommes 5 à partir dont un nouveau équipé d’un bel objet.
Les singles de BDA commencent à vive allure, ça arsouille tout de suite. On se met dans le rythme.
Les km s’avalent à vive allure, on rejoint le groupe des 30km dans le haut des singles, chaine cassée pour un nouveau.
Nous poursuivons notre promenade, la Marielle est assez propre mais toujours aussi difficile dans ce sens-là ! Vivement que l’on puisse prendre ce single dans l’autre sens histoire de rouler un peu !!!
Une petite crevaison d’Edouard arrive à point nommé pour reprendre son souffle et ses esprits.
Après quelques kilomètres (environ 25), Freddy le nouveau souffre, son genoux endolori l’ennui et nous décidons raisonnablement à Nauphle le Château de rebrousser chemin pour revenir entier à BDA.
Le retour se fait calmement sans forcer, sans soucis.
Dimanche de rentrée cette semaine encore avec le retour d'anciens, la vision de nouveaux vélos, comme le VttAE de Patrick et les nouveaux, pas moins de 5 !
3 distances au programme avec un 36 emené par Philippe
Un 39 qui pour certins fera 36, pour d'autres 44, emmené en deux sous groupes avec Francky pour le premier, par votre serviteur pour le second.
Un 51, emené par Eric avec Jean Luc, Patrick L, et Florian !
Le 39 est le plus complet avec quasiment 15 personnes à surveiller et un Frédéric en serre file !
Direction Saint Cyr pius la Minière où nous allon sperdre un premier élément, trouvant que le ryhtme est un poil élevé...
Une jolie petite descente et là paf, Mickel casse sa chaine ! Le groupe se divise avec d'un côté, Franky et sa bande, de l'autre, Olivier, Edouard, Mickel, FLorent et moi même. Nous réparons la chaine en mettant un maillon rapide, rapidement, enfin plus vite et mieux que les olibrius qui ont tenté précédemment de porter secours à Mickel !
Ca repart en pétard pour rejoindre le groupe, assez vite ! Salavateur pour Olivier qui trouve que le ryhtme était trop élevé !
Ouf mais nous restons à 4, jusqu'à Trappes ou Edouard décide de nous fausser compagnie pour rentrer directement, sans attendre...
De notre côté avec Mickel, et Florent nous repartons cherhcer le single dit le Laffont que nous prenons pleine bourre tout en attendant Mickel qui roule fort en ce début de saison avec son vélo équipé de bine belles roues.
Le long du Lac de Saint quentin, pour le troisième fois nous rejoignons Philippe et son petit groupe.
A 12h tout le monde est rentré, sauf le 51 dont nous n'aurons aucune nouvelle !!!
Sur le parking pas moins de 25 vélos et autant de cyclistes, c'est pour certains l'occasion de retrouvailles après plusieurs années et l'on sent l'émotion étreindre les plus sensibles, Franky cachera ses larmes derrières ses lunettes, c'est le regard embué qu'il donna le top départ.
Le menu comprenait un 33, un 39 et un 46 modifié '51' par l'adjonction du 'single des laffont'
Le groupe est assez impressionnant et va rapidement ramer , le petit raidillon de saint cyr sera piétonnier pour beaucoup. Placé à l'arrière, en observateur je pourrais dénoncer mais j'ai promis a Michel J d'être compréhensif, il est vrai que son nouveau vélo semble tellement beau qu'on en oublie de regarder le chemin.
Les groupes se séparèrent au niveau de Versailles, les loucedé affamés vont se précipiter sur le 51, ils ont bon moral car la pluie tombée pendant la nuit a rendu le terrain glissant, nous les reverrons à l'apéro la mine réjouie, ça semble s'être bien passé pour eux.
Le groupe des 33 est emmené par Philippe, ils arriveront un peu après nous, et auront parcouru 36km ce qui est tout de même un rude début de saison.
Nous , le groupe 39, virevoltons dans la forêt, franchissons le plateau de Toussus et plongeons avec délices dans la forêt de port royal, non content de mener le groupe avec "rantanplan" mon fidèle GPS, je décide au détour d'un modeste trou de plonger dans la Mérantaise. L'eau est fraîche aussi pris-je le soin de ne tremper que le côté gauche. Des individus ont cru à une chute, à une erreur de pilotage, évidement ce ne sont que des ragots de peloton.
En arrivant sur Voisins, nous optons pour une version courte du trajet car la fatigue se fait sentir, nous arriverons après 36 km pour un apéro rituel en attendant les copains.
Le 34 et le 39 auront fait la même distance, ce qui confirme l'absolue nécessité d'un parcours de 36 km au programme.
Belle journée qui se présente à nous avec un risque mineur mais avéré de se prendre une averse sur le casque avant la fin de la sortie !
Nous étions une bonne vingtaine cette semaine avec 3 distances proposées en direction de Marly !
Un groupe assez cool de remise en forme et nouveaux qui veulent se tester sur 33km pour 500m de D+, emmené par Philippe,
Un goupe intermédaire pour parcourir environ 40km pour 600m de D+, emmené par Francky les bons tuyaux
Un groupe dynamique pour couvrir 47km pour 750m de D+
Départ groupé pour les trois distances, mais rapidement sur la plaine de Fontenay les groupes 1 et 2 partent à droite, le gouep 3 part à gauche pour allonger la distance. Ce groupe composé de 8 vttistes, retrouvera par endroits, dans les singles de Marly principalement, les deux autres groupes qui avancent bon train !
Pas d'anecdote particulière à raconter, tout c'est bien passé sans casse, crevaison...
Ayant eu un débat houleux avec une pompe à vélo 'rangée on ne sait ou', un pneu à plat et une pompe à pied inadaptée, j'arrive in extremis pour le départ sur mon mulet. La troupe est là encore nombreuse, et les loucedé ont toujours la fringale. Les parcours se séparent des BdA et se recroiseront par moment. Franky emmène le groupe des 39 km, ils vont rouler fort, très fort..
Dans le groupe des 34, nous sommes 7 guidés par Philippe, le parcours nous emmène sur la gare de l'étang la ville puis un tour dans la forêt de Marly pour rejoindre Saint Nom. Les chemins sont secs, le temps est idoine bien qu'une averse soit programmée vers 11h30. Philippe prend soin de la troupe, comme toujours, et nous amène au débouché de la plaine sans nous avoir brutalisé.
A saint Nom, nous laissons Peggy prendre quelques instants de solitude, tout en lui suggérant que la pancarte 'zone de chasse en cours' pouvait avoir une signification autre qu'artistique, le courage ou l'envie eurent raison de toute prudence.
Une fois repartis nous passons derrière Grandmaison car nous sommes courageux (se). Arrivant sur le plateau au-dessus de Rennemoulin nous essuyons les premières gouttes, elles deviendront 'drache' en traversant Fontenay, c'est à ce moment que le groupe des 39 nous rattrape, ils auront roulé a 14,5 de moyenne!
L'apéritif amélioré par Miguel et Peggy sera vivement apprécié, et fera oublier la morosité du temps.
Dimanche 8h30, il fait frais,
On sent à la lecture du programme (42/47/53 vers Mareil) qu'il y a une ambition, sans doute celle de transformer une bande de ripailleur hauts en gueule en troupe sportive à pectoraux et tablettes de chocolat.
Les Gps sont répartis, et nous commençons par le tour de l'étang, dans une brume légère qui rend le paysage agréable à regarder et parfois mystérieux.
La séparation se produit à la sortie du parc, je me suis accroché à l'arrière garde pensant réaliser une bonne affaire... 5 minutes plus tard nous sommes toujours à l'arrêt: piles de GPS, mauvaise carte, reboot du système, non compréhension de l'interface, Ludo nous fera tout absolument tout avant de déclarer timidement 'c'est bon'...
Nous roulons gentiment, jusqu'en haut de la butte d’Elancourt et profitons d'un bien joli coup d'œil sur la campagne embrumée.
Au sortir du bois de Maurepas, à la suite d'une pause pipi et d'un délai d'attente raisonnable expiré, nous repartons sans prendre garde à Ludo. Réalisant notre oubli nous stoppons, un autre délai d'attente raisonnable s'écoule puis face à la triste évidence Edouard file chasser le Ludo perdu, oui vous avez bien lu, PERDU, avec un GPS, le parcours, et des batteries neuves, mais perdu.
Les deux lascars nous rejoignent, on repart, et 500 m après, nous nous arrêtons en haut de la cote du club hippique pour problème mécanique, et.. Évacuation de trop plein: A force de boire, mais de ne pas rouler, nos vessies sont en situation désespérée !
Edouard suggère que la ballade va être longue...
Enfin repartis nous avançons; le doute s'étant immiscé parmi nous, on ne sait plus trop si c'est le GPS de Ludo, le mien (mon fidèle rantanplan) ou la mémoire d'Edouard qui donne le meilleur parcours, il s'en suivra quelques erreurs de trajets et détours.
Malgré cela ça roule, on arrivera même jusqu'à Neauphles avant que 'qui vous savez' ne réclame sa pose casse-croute, la 5ème...
L'ascension de Pontchartrain sera vivement expédiée et de manière amusante sur les derniers kilomètre notre guide et maître roulera comme un fou jusqu’à l'arrivée: Sa motivation consistant en l'absolue nécessité d'acheter un gâteau avant la fermeture du pâtissier.
Au local, nous retrouvons les '47' réunis autour d'un pastis et fricotant avec un pot de rillettes. Finalement, on y est arrivé...
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Le Beaufortain
Florent et Nico se rendent au Beaufortain pour arpenter les traces trouvées sur le site internet.
Après un voyage en voiture plutôt calme et agréable, nous voici arrivés à Arêches, 1036m d'altitude, un soleil éclatant et les Alpes qui s'offrent à nous ! Les températures sont clémentes, ce qui ne va pas durer tout le weekend...
Après s'être installés dans le gite et avoir avalé un copieux repas, mise en route des vélos... Et des jambes.
Au programme, un petit 16km qui se transformera en 20km, pour aller rider "La Secret Spot" ! 20km, direz vous, ce n'est rien, oui, c'est vrai mais il faut penser à une chose ! C'est du VDM que l'on fait, pardon, du Vélo de Montagne !!! Les remontées mécanisques sont fermées et nous ne sommes pas venus pour monter en voiture !!! ALors il faut aller chercher les trails et pour cela il faudra monter dès les premiers mètres, 1100m de dénivelés positif étalonné sur 14km !!!
Heureux d'être arrivés en haut, nous voila en train de s'équiper, genouillères, coudières...
Un long single sinueux, très pentu avec des épingles raides ! Difficile de se mettre dans le rythme, le terrain est éxigeant, et les zones de freinage en cette fin de saison sont défoncées,... Mais le plaisir est là tout de même ! On a la banane, juste le regret de ne pas avoir mis le casque intégral pour lâcher un peu plus les freins !
Les derniers mètres se font en douceur et nous arrivons à Arêches, pratiquement au pied de notre gîte !
3H de ride, après 7h de route, pas mal on est content, le temps et les températures ont été nos alliés, vivement demain.
La fin de journée s'articule entre une visite éclaire vers Beaufort à 15' pour nous, 12' pour les locaux :-) , de Arêches... et la mise au point de la sortie du lendemain, le gros morceau !
Samedi matin : le réveil se fait bien les jambes vont bien... Petit déjeuner avalé, casse croutes préparés, sac remplis, vélos opérationnels, on part pour la sortie appelée "Le Col du Coin" : le programme est assez simple : 30km, 1400m de dénivelés positifs, en deux temps!
Il fait plus frais ce matin, on décide de transporter des vêtements de rechange pour se changer en cours de route, cela se sent dans le sac, mais sera salvateur...
La première montée se fait plaisiblement, car, même si les jambes sont bonnes on part pour un un long trip, il ne faut pas se griller et on a prendre quasiment 500m de dénivelé sur 5km 2050m, c'est notre altitude ! Ca pique un peu... Ca pique aussi les doigts...
Arrivés au "Passage de la Charmette", un superbe single s'offre à nous en descentes... Oui mais c'est glissant car le sol est gelé et les premiers mètres nous surprennent ! On décide de dégongfler un peu l'avant et hop nous voila parti pour un single sinueux, relativement facile dans l'alpage... Nous voila redescendu à 1600m ! 5km de fait en descente, c'était paisible et agréable, pas reposant.
Là c'est le gros morceau, il va falloir remonter à 2400m d'altitude avec, nous le savons un portage sur les derniers mètres, enfin les derniers hectomètres en vrai !
Il fait beau, les températures montent, on sent que le casque intégral qui manquait la veille tient chaud ce jour mais rassure en descente et tout fait ça permet de garder un peu de chaleur. 10km à parcourir et 800m de dénivelés à couvrir ! L'altitude et les efforts méangés, une très longue montée interminable, au delà des jambes, il faut y aller au mental pour aller chercher le graal, si graal il y a !!!
Au pied du col, c'est la partie portage ! Chouette on arrive, mais quelle douleur pour terminer ! à 2300m l'oxygène se fait rare, le cardio est déjà dans la boite à gants, pousser le vélo ne fait pas avancer, il faut le porter en plus du sac ! C'est 122m de dénivelés en 500m parcourus !
Asphyxiant.
Arrivés au col, point culmuniant de notre périple, nous jetons un oeil, avant de jeter les roues, dans ce qui va être pour nous une descente infernale !!! Nous décidons de nous restaurer, il est 13h et nous sommes sur le vélo depuis 09h10 ! Oui 3h50 pour couvrir 20km, mais voila tout le dénivelé à l'exception de quelques derniers hectomètres sur la fin, est passé !
Après un frugal mais assez long repas, pause... on s'habille en mettant des vêtements secs et chauds pour attaquer la descente ! Le soleil est bien présent, mais le vent est frais et je rappelle qu'à 2400m ce n'est pas pareil.
Les premiers mètres de la descente, sont, épiques ! C'est un jeté dans le vide, avec des lacets, ou épingles plus courts que les vélos, avec des marches... On voit un traileur monter quasiment au pas de course, son chien devant lui... Et nous sommes, nous aussi à pieds pour descendre tant c'est impossible à faire à vélo, du moins pour notre niveau.
Cela se calme ensuite, on rejoint un petit single puis la piste pour redescendre à bon rythme. Nous croiserons quelques vaches qui sont en pleine transumance et qui nous parfois nous bloqueront le passage, mais elles sont chez elles, nous n'allions pas les froisser !
Nous sommes un peu déçu, car il a fallu fournir un effort considérable pour au final, descendre sur une piste très large, et la seule partie intéressante était bien trop risquée pour se jeter dedans... Bref de retour après 5h de VTT à notre gîte, nous décidons de réfléchir à un final pour le dimanche digne de ce nom !!!
Dimanche matin : les températures ont chutées sensiblement.
Le programme est assez cool, on mélange de trois traces pour allonger la distance et le dénivelé, aller chercher ce que nous espérons comme une vraie trace d'enduro en descente !
20km, 1100m de dénivelés positifs avec une seule ascension de 10km vers 2100m de d'altitude, parcourus en 2h !
Rien de difficile à la montée comme ces derniers jours, une grande piste, assez facile à monter au début mais on se rend compte, que plus les kilomètres passent et plus cela s'accentue ! Nous croisons à défaut d'âmes vivantes, des télésièges...
Arrivés au point culminant du jour, nous prenons le temps de nous équipés et nous voila partis pour une vraie descente dans un superbe single d'alpage. Pas vraiment de difficultés, sur ce single qui nous amène ensuite vers une grande piste pour rejoindre la descente ultime appelée "Les Quefins". 5km à font dans les sous bois avec des épingles enracinés, des petits sauts, des marches dont une infranchissable à moins de jeter le vélo, le bonhomme et prier pour l'atterrissage... Un Grand bonheur, un feu d'artifice pour terminer ce séjour qui nous aura valu quelques exigences physiques et mentales.
Et c'est après coup que l'on se dit qu'un séjour pareil pour préparer un événement comme l'Epic Enduro, ce serait vraiment au top ! Pas forcément pour aller travailler la technique, mais plutot pour aller chercher l'altitude, s'imposer des longues montées interminables et se forger un physique et un mental pour aller au bout de telles épreuves !
En ce jour de la saint Séverine, nous avions décidé de scinder le club en deux...
Pas comme d'habitude, à créer des groupes pour aller au même ednroit en prenant des chaemins plus ou moins communs...
Non cette fois-ci nous avons décidé de proposer du neuf.
Un départ du COBAR pour 9h en direction de Beynes, ave cun groupe mené par Francky, un bon 42,5km...
Un départ du COBAR vers 8h30 en voiture pour ralier le parking de l'Etag Rompu, point de départ pour une belle balade dans la foret de Rambouillet et découvrir la trace appelée Gambaiseuil...
Nous étions 16 COBASIENS à nous retrouver ce dimanche frais mais beau sur ces terres incunnues pour bon nombre.
Nous répatissons les groupes 11 personnes d'un côté pour suivre la trace du 35km, 5 personnes de l'autre pour suivre la trace de 28km...
Après avoir attendu... Au moins 5' Olivier et Philippe Malle, nous voila parti sur un tracé qui ne fera que monter et descendre... 35km, 640m de D+, des montagnes russes en tout genre, avec des longues montées et des plus courtes, des singles dans les bruyères...
oui mais avant d'arriver au bruyères, nous perdons malheureusement Edouard qui après une mauvaise chute se plaint de son épaule droite.
Nous décidons de l'accompagner vers Gambaiseuil, seul village a proximité ou son père pourra venir le chercher. Nous appredonrs par la suite que l'épaule est luxée et qu'il en a pour 15 jours à rester tranquile...
Nous poursuivons notre bonhomme de chemin, cette fois au travers des bruyères et du sable plus ou moins mou... C'est là que Matthieu décide de nous fausser compagnie en cassant son plateau sur une souche...
La suite se fait sans encombre, avec un ryhtme cool, Julien ne pouvant plus appuyer sur les pédales, ayant même sur la fin après le dernière montée quelques crampes aux jambes.
Chacun aura su apprécier, la trace, ou le paysage, voire les deux.
Sortie hivernale le 04 décembre.
Les températures sont basses, même si le ciel est bleu, il fait froid !
Côté club la déicision est de partir en direction de Feucherolles
Du côté des loucedés une session training s'organiser.
Au programme
Passages de dalles, marches à la montée et à la descente...
Quelques passages techniques, resseremment de lignes, recherche du meilleur passage...
https://vimeo.com/194399638
Par Frédéric Ladouce
26 Février,
Ce jour marque le retour à notre horaire d'été, nous nous retrouvons donc plus ou moins vaillants à 8h30 avec trois parcours se recoupant et orientés vers Saint Remy l'honoré.
Absent depuis un moment des parcours dominicaux, je ne pu échapper à l'humour potache si caractéristique du peloton coba VTT. Les quolibets passés, tout le monde se met en route par un temps doux et peu venteux.
L'allure imprimée à la troupe me fait douter de ma forme jusqu’à ce que j'entende que ça rale derrière. Arrivés sur Élancourt une question nous traverse :
'qui va monter la butte' , Franky un peu dur d'oreille se méprend et semble tout émoustillé, revenu à la réalité il s'accordera avec l'unanimité pour oublier cet obstacle pour se réserver sur le 50 km .
Le groupe se divise ainsi entre 2 partants pour le 50, 4 pour le 45 et le reste (7) sur le 40.
Nous recroiserons nos petits camarades à divers moments, souvent précédés de peu par le chuintement discret du VAE de Patrick dont nul ne sait réellement combien de kilomètres il fit a force de passer et repasser.
En redescendant sur la station d'épuration d'Elancourt, Ludo nous fait part de l'aspect répétitif du paysage, pourtant ensoleillé
Je proteste arguant que la répétition n’empêche pas la poésie: Songeons à quel point il nous est agréable de redécouvrir chaque matin le doux sourire de nos compagnes, chaque fois différent et toujours inspirant . Philippe R interrompra ce moment délicat avec une appréciation que je ne rapporterai pas (on ne sait jamais, son épouse peut tomber sur ce message.. )
Plus loin, nous voyons passer Eric L qui avait faim et lâchait le 45 pour rejoindre le 50, enfin c'est ce que j'ai compris, plié de rire de le voir ronchonner à cause d'une descente menée a train de sénateur,Sénateur que nous attendions d’ailleurs...
En arrivant à Pontchartrain nous achevons le deuxième tiers du parcours, celui qui était vallonné, par une cote bien costaude nous amenant à proximité de l'A12.
Le groupe Franky nous dépasse, ce dernier lâchant quelques messages élégants comme de coutume.
Les trois équipes se rejoignent une troisième et dernière fois a l'orée de la forêt de BdA,
Le retour au local sera un peu plus pénible que d'habitude pour Yann et moi même complètement cuits depuis Plaisir.
A la semaine prochaine !
Par Frédéric Ladouce
5 Mars, Bois d’Arcy est la Ville départ du Paris Nice, tout fout le camp, le Paris Dakar ne part pas de Paris ni n’arrive à Dakar, l’America’s Cup ne se déroule pas en Amérique, il est donc légitime de faire partir un Paris Nice, de BdA. Néanmoins je m’interroge, s’ils ne partent pas de Paris, où arrivent-ils ?
Du fait de ce grand événement, le centre du monde s’est déplacé au club hippique de la Croix Bonnet afin de permettre un départ aisé à la troupe du Coba. Troupe réduite à 8 humains, dont un a demi robotisé (tonton Duracell) . Ludo nous y attend depuis 8h10, il est déjà congelé.
8h30, départ, descente sur FLF, rencontre avec Eric Losego, optimiste en tenue « printemps-été 2017 » à savoir short et K-way, ça me titille un peu car tout en étant équipé hiver je me les caille un peu déjà… D’un autre côté, on a jamais été certain que le gaillard était humain, X-men, mutant rien n’est à exclure.
On se lance sous quelques gouttes, vent de dos, sur la magnifique voie cyclable réalisée par l’agglo Versailles Grand Parc pour restituer l’allée royale aux promeneurs et touristes. Je sais, vous vous en tapez, mais ce fut l’un des sujets sur lequel j’ai bossé entre 2008 et 2014. Des touristes chinois, y’en avait pas, et on s’en fout un peu, mais cela ne retire rien au plaisir de ne plus avoir à ramer dans une boue infernale pour rejoindre Villepreux.
Nous bitumons sans regrets jusqu’au pied de la côte de Saint Nom, boueuse mais jouable, c’est amusant de voir les meilleures descentes sous l’angle inverse un jour de pluie venteuse et glaciale. Ludo qui râlait depuis le départ en a profité pour repartir chez lui. On passe Sainte Gemme, un bon coup de boue et hop sous l’A13, nous voilà dans la foret de Marly. Nous effectuons le tour du golf de Chambourcy, ça remonte. Phil nous propose le bitume plutôt que la boue pour économiser les jambes, nous sommes trois et, avec mon collègue de galère, nous apprécions.
Plus loin de retour sur la trace le reste de la bande nous rejoint, sauf Eric L parti sur un parcours qu’il aura plaisir à nous décrire, je l’espère.
Il reste une dizaine de kilomètres et la météo commence à pourrir grave. La traversée de la plaine de Fontenay, que nous avions évoquée avec méfiance dans le peloton, tient ses promesses, en faux plat vent dans le pif, pluie sur le nez, petit plateau et gros pignon pour avancer mains ou pieds congelés, pas sympa…
Au retour à Bda, c’est l’état de siège, barrières, policiers armés, je retrouve 4 forcenés retranchés dans le local du Coba, le reste de notre vaillante armée ayant rejoint les véhicules laissés au point de départ, ou les domiciles à la recherche d’un moyen de décongélation.
Nous sommes trempés, Franky est congelé, après un perroquet il nous gratifiera d’une scène d’anthologie à base d’essuie tout, de caleçon relevé, et je vous passe le reste…
Nadine arrive alors que nous attaquions le second pastaga, puis Ludo, remis et propre comme un sous neuf, nous sommes assez fiers d’avoir fait cette sortie.
A la semaine prochaine
Par Eric Losego
Sur le 41km, c'était à peu près pareil ;-)
J'avais un peu mis le cerveau en veille pour éviter de me demander ce que je faisais là, mais tout de même en hyper-vigilance pour éviter la gamelle sur ce terrain pour le moins glissant.
Du coup, pas trop de CPU disponible pour admirer le paysage que je serais bien en peine de décrire comme le suggère Fred.
J'ai quand même noté, qu'outre le sens de parcours opposé à l'ordinaire, il y avait quelques passages un peu inhabituels et qu'on aura plaisir à re-parcourir sous météo plus clémente.
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je trouve qu'il y a de plus en plus d'arbres couchés et qu'on est souvent obligé de descendre du vélo.
D'ailleurs, sur la trace 41km, il faudra corriger un endroit où le chemin n'existe plus (on a l'impression qu'il a existé, mais c'est un lointain souvenir).
Sur la Route des Princesses (ligne droite goudronnée bien lisse au milieu de la forêt), il me semblait être à peu près à fond mais en regardant le compteur, il indiquait 11km/h !!!???
Il y avait comme un vent du sud... qu'on a bien retrouvé sur la remontée vers Fontenay.
Je n'ai pas tenté de forcer les barrages pour atteindre le COBAr et suis rentré directement chez moi.
Après la sieste j'ai regardé la fin du Paris-Nice à la télé (j'avais le projet d'aller sur place mais la météo m'a bien dissuadé). C'était quand même sympa d'y voir nos routes familières.
Par Eric Losego
Bonsoir,
Ce matin vers 11h, j'ai croisé Fréd qui faisait la course avec un vélo électrique du côté de Villepreux. Et, croyez-le ou non, il était devant !
Du coup, je me dis qu'il n'y aura certainement pas de compte-rendu poétique de la sortie de ce dimanche.
Pour ma part, comme je devais être rentré à la maison pour 11h (contrat non rempli, vous l'aurez compris...), j'avais décidé de partir à 7h30 sur le 46km. Manque de bol, 7h30, c'est l'heure à laquelle je me suis levé. Je suis quand même parti de chez moi vers 8h pensant trouver en chemin quelques membres du COBA, mais point du tout.
Qu'avez-vous fait ? Y a-t-il eu des courageux pour aller jusqu'au ravito ?
J'ai bien aimé le parcours ; un parcours pour terrain sec, ce qui était le cas fort heureusement ; le jour et la nuit comparé à la semaine dernière. Sinon, ça aurait été un peu galère dans ces chemins de terre ; mais là, c'était presque trop facile. Etonnant qu'on n'aille pas plus souvent sur ces chemins autour de Marcq alors que c'est tout près finalement.
Pour éviter de revenir par le même chemin qu'à l'aller comme le prévoyait la trace (du moins, celles du 2ème envoi de Philippe), je suis revenu par Thiverval et l'aérodrome de Chavenay. Ce qui aurait dû être un 46km + 5km d'A/R St Cyr s'est transformé en 57km, mais c'était vraiment bien sympa et la tenue de printemps suffisait.
Par Philippe Roissard
Hello,
Ce matin, RV aussi frisquet (6°) que matinal (8h pour ceux qui lisent les mails) au milieu des cyclos et cyclottes venus des 4 coins du département pour participer au traditionnel Rallye des Glaces organisé par nos amis cyclos du COBA.
Les volontaires (Franck, Mickel, Miguel et Nadine) étaient depuis longtemps au boulot pour rassasier les 271 participants ... MERCI à eux.
Deux groupes distincts : les 5 (ou 6 ?) loucedés partiront sur Meudon pour faire mu-muse sur un nouveau circuit "vallonné" et les 8 autres sur les traces du Rallye des glaces, sans oublier de passer réveiller le retardataire du jour (Patrick L) ! Départ effectif vers 8h15, pour rejoindre les abords de Thoiry (47km), voire pour 2 courageux (PhM et John) pousser jusqu'à Goupillières (lieu du ravito où officient nos 3 volontaires) et faire les 58 km proposés ... à moins que ce ne soit pour s'empiffrer de chocolat et de raisins secs !!!
La météo clémente depuis 2 jours avait bien asséché les chemins, j'ai réussi cette fois à ne pas mettre pied à terre ... c'est dire ! La fraîcheur du départ a fait place vers la mi-parcours à une douce chaleur bien agréable ... En fin de parcours, il a même fallu enlever qq couches de textile sous peine de se transformer en cocotte-minute à roulettes. Heureusement que j'avais emporté 3 paires de gants ... ce qui m'a valu les quolibets de mes compagnons (envieux) ! Quand Ludo n'est pas là, faut bien trouver un bouc émissaire !
Des nouveautés testées du côté de Marcq, quelques jambes lourdes après Saint Germain de la Grange, un saut de chaine intempestif pour Eric S en abordant l'ultime montée dans le bois au-dessus de Plaisir à la jonction avec le groupe des 2 toniques du 58, une disparition imprévue mais momentanée de TDu (Bravo, le retour sur 47 km après 3 mois d'arret !) ... arrivée un peu avant midi pour déguster (dehors) le vin chaud spécial COBA accompagné pour certains d'un petit sandwich "jambon de pays", bien vendu (sans grande difficulté) par Nadine !
A 12h30, les loucedés ont refait leur apparition, langues pendantes ... Il parait que la balade sur Meudon est accessible pour tous ... A voir aux beaux jours, mais il faudra raccourcir la boucle de 60km !
Pendant qu'ils me contait leurs exploits du jour, les "travailleurs" de retour ont déchargé les voitures : il reste de l'eau à boire (s'il y avait du jaune au ravito, il ns en resterait peut etre pour boire toute cette eau !) ... et un peu de charcuterie aussi pour dimanche prochain.
Par Nicolas
Effectivement en ce dimanche radieu nous avions décidé d'aller repérer une trace que PHR nous avait proposé en direction de Meudon, Appelée la Jovacienne, cette trace assez ludique de 58km, et 1200m de D+ est à faire par temps et par terre secs !
Nous abordons le tour par la minière en évitant d'aller nous cramer de suite dans les singles... Nous voila tournoyant dans des contrées que nous visitons peu, ou pas dans ce sens... Mais ce qui est sur c'est que ça monte et ça descend, pour remonter. Logique pour couvrir 1200m de D+ il faut bien aller chercher le moindre raidillon proposé sur la trace quitte à faire quelques détours.
En arrivant en terrain plus connu, sur Meudon/ Velizy, Jouy en Josas, Freddy monté sur un Btwin en attendant de remonter son vélo, se retrouve fourbu! Le velo lui renvoi tout ce qu'il a dans les bras le dos, les jambes. Le reste de l'équipe est assez fraiche encore et nous rentrons paisiblement le long de l'A86...
La semaine prochaine circuit des singles soyez au rendez-vous.
Circuit des singles
Par Nico
Pour l'occasion les loucedés au complet vont rouler la Cernaysienne.
Au programme, 55km et 1500m de D+... Au départ de Cernay le ville, c'est une balade vers Chevreuse, Dampierre, Choisel pour aller tâter, sur un terrain particulèrement sec, quelques trails bien épiques. Parfois des singles, de belles montées, de superbes descentes !!!
Un régal, en images.
Sortie plaisante
Par Eric Losego
55 km de terrain sec et roulant vers Montfort, ça sentait bon le mois de juillet !
Nous étions 9 au départ ce matin, et seulement 1 GPS.
Le jeu a donc été de lâcher les concurrents sur le parcours. La première victime fut Thierry qu'on n'a pas revu après le passage d'une tranchée à Pontchartrain (mais on l'a eu au téléphone, il va bien ! son vélo, un peu moins...).
Tout le monde a tenu jusqu'aux abords de Montfort où un groupe de 3 s'est lancé dans l'aventure de revenir à Bois d'Arcy sans GPS. On ne les a pas revus non plus (ni eus au téléphone), peut-être ne sont-ils pas encore rentrés...
PhM, un temps tenté d'abandonner le VTT ou de passer à l'électrique, a finalement tenu jusqu'au bout et de belle manière. On ne peut pas en dire autant de tous les autres, mais on s'est quand même retrouvé à 5 au COBAr après cette première sortie estivale de l'année.
Bonne semaine
Pour les Loucedés, composé pour l'occasion de Florent, Matthieu et Nico, petit tour pour changer vers les Vaux de Cernay pour une séance technique et quelques challenges à relever.
Une belle marche en enchaînement à passer pour ma part...
Une course entre Matthieu et Florent...
Passage d'une marche en enroulée pour Matthieu.
Ici en vidéos quelques passages rigolos, passés à différentes vitesse avec des trajectoires variées.
Rien de prévu vraiment au programme pour ce dimanche Pascal...
Toutefois nous avions décidé avec les loucedés présents d'aller se balader vers une contrée rarement visitée, proposée par PHR, repérée en période maussade... Meudon !!!
Au départ de BDA, nous étions, Matthieu, Edouard et moi même pret à en découdre avec une belle trace de 53km et 950m de D+... Accompagnés de Philippe Brunel, Mickel, Patrick Aubron et Patrick Gourlaouen, nous nous sommes donc dirigés vers Meudon, en prenant tous les singles que la trace qui se croise en nombreuses fois, nous propose...
Arrivés sur le bas de Meudon, à "La Terrasse de L'Etang", Patrick Aubron décide qu'il est temps de rentrer et trouve un prétexte un peu dangereux, en se plantant un baton très pointu dans le tibia entre peau et os... Intervention magique de Philippe qui avait la trousse de secours... Nous décidons alors de ne pas poursuivre jusqu'au bout de la trace et revenons au plus court, en proposant les singles pour les plus vigoureux, les grands axes pour les autres.
De retour vers BDA pour 12h avec 49km et 720m de D+ tout de même, nous avons profité malgré cet épisode, d'un très joli tracé à bonne allure (14km/h de moyenne), sur un terrain sec et des températeures, fraiches mais clémentes pour un dimanche de Pâques.
Quant à Patrick il a deux points de sutures, il est sous antibiotiques, mais globalement tout va bien.
Pas vu de billet pour ce dimanche ; j'espère que certains ont quand même roulé. Non ?
Je pensais trouver des amateurs pour ce lundi férié même si l'absence de mail sur le sujet n'incitait pas à l'optimisme.
Personne au COBA à 9h, personne autour de midi non plus. Ai-je loupé quelque chose ?
Pour ma part, à partir d'une traces de 40km, j'ai ajouté quelques impros pour faire un 45km vers Dampierre. Malgré une fraîcheur certaine et quelques gouttes, les chemins secs sont vraiment agréables, que ce soit en forêt ou dans les champs.
Eric
Côté loucedés nous avions décidé de se faire un Clamart. Au départ du Rong Point de la Place des Gardes, proche de la dite côté des Gardes, tant connue pour celles et ceux qui ont couru, ou suivent paris Versailles...
Un petite 36km au travers d'une foret fraîche mais vide de toute âme humaine... Avec Edouard, nous avons roulé tous les singles du coin pour boucler notre petit tour pour 11H. Soit 2h de roulage à bonne allure !